Pays des merveilles
par
Novélisation / Caviardage
« Un homme tout juste vivant est une novélisation partielle, et non chronologique, des deux premières saisons du feuilleton télévisé L’homme qui valait trois milliards. Pays des merveilles est un caviardage reponctué d’une traduction automatique de Alice au pays des merveilles de Lewis Carroll. » Ces deux textes forment un diptyque, offrant à chaque page le déploiement d’une vision détaillée dans une certaine durée. Partout le sujet est en suspens, tantôt mimé dans un ressassement (Un homme tout juste vivant), tantôt décalé dans les objets directs (Pays des merveilles).
Un homme tout juste vivant
Un homme tout juste marchant à l’énergie atomique, sur une route où une blonde diagnostique un amnésique tout juste vivant avec dans la tête des images d’accident transformant : un homme en un homme tout juste produisant un discours ; révélé par : un film à détruire, une journaliste blonde à séduire dans une voiture, rouge comme une cavalière blonde qui parle à son entraîneur ; un entraîneur visé par un tireur avec un silencieux comme l’entraîneur qui tombe.
Pays des merveilles
La phrase a fait un bond soudain pour la capture de nouveaux sujets très pressés de changer de conversation. Adoption immédiate de sens a voulu en savoir plus, pensait prendre la parole avec un doigt appuyé sur son front — la position dans laquelle voir les images, en silence, appelant à la confusion. Une certaine confusion dans un cycle, murmure une longue et triste histoire se tournant et soupirant avec émerveillement.